Intérêts agronomiques

L’augmentation de la demande en protéines animales à l’échelle mondiale génère des problèmes économiques et environnementaux. Les surfaces nécessaires sont considérables et très consommatrices d’eau. La production pour répondre à cette demande peut être considérée comme une « usine à l’envers (1) » : il faut 100 protéines végétales pour produire une protéine animale.
La spiruline est une alternative intéressante pour une moindre consommation de viande mais de meilleure qualité.

Rendement en protéines à l’hectare (en tonnes/hectare/an) (2).

Quantité d’eau nécessaire à la production d’un kilogramme (en litres) (3).

Figure 2

Il n’y a pas de rejets d’eaux de culture. Quand nécessaire, elles sont envoyées dans un bassin de décantation et s’évaporent à température ambiante. Les restes précipités de sels et intrants minéraux sont ramassés et retraités en déchetterie.

(1) RICARD, Matthieu. Plaidoyer pour les animaux, vers une bienveillance pour tous. Paris. Allary, 2014. 370 p.
(2) MICHKA – FALQUET, Jacques. La spiruline pour l’homme et la planète. Georg Editeur, 2005. 202 p.
(3) MICHKA – FALQUET, Jacques. La spiruline pour l’homme et la planète. Georg Editeur, 2005. 202 p.